Il y a trois sortes de violence. La première, mère de toutes les autres, est la violence institutionnelle, celle qui légalise et perpétue les dominations, les oppressions et les exploitations, celle qui écrase et lamine des millions d’hommes dans ses rouages silencieux et bien huilés.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue.
La seconde est la violence révolutionnaire, qui naît de la volonté d’abolir la première.
La troisième est la violence répressive, qui a pour objet d’étouffer la seconde en se faisant l’auxiliaire et la complice de la première violence, celle qui engendre toutes les autres.
Il n’y a pas de pire hypocrisie de n’appeler violence que la seconde, en feignant d’oublier la première, qui la fait naître, et la troisième qui la tue.
On veut imposer le GCO contre l’avis des popu-lations concernées. 83% des personnes avaient exprimé un avis défavorable lors de l’enquête publique sur la DUP en 2006. Autant ont renouvelé ce même avis sur la partie environnementale du dossier, s’ajoutant aux avis négatifs de scientifiques et experts mandatés par l’Etat lui-même (7 avis négatifs en 2017 et 2018, dont deux des enquêtes publiques ARCOS et SANEF)
Nous sommes en légitime défense…
A bon entendeur, salut